jeudi 9 février 2012

études de lumière

L'apport principal des appareils numériques récents est l'extrême sensibilité à la lumière de leurs capteurs. On en obtient des images acceptables même dans la pénombre. Agrandies à 100%, elles montrent que bruit numérique gomme les détails. Mais ce bruit a un grain particulier qui rend les lumières de façon étrange et belle.

Le capteur est celui du Nikon 3100, le premier prix des réflex de la marque. L'objectif, un 50mm 1.8 AIS : très lumineux, très peu cher, excellent.

Les lumières de la ville ne sont pas un sujet neuf. Mais il me semble que la lumière des écrans, qu'ils soient fixes ou mobiles, en renouvelle l'intérêt. Les signes, signaux et sources d'éclairage réfléchis et réfractés par les surfaces vitrées donnent aux images la profondeur d'une étendue liquide.

photo en faible lumière | éclairage artificiel

photo centre Beaubourg

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